Parents de Catherine Lamer

Bonjour 
Je suis à la recherche du nom de la mère et père de Catherine lamer né en 1831 j'ai la photo de Catherine la plus vieille dame au monde poser à Montréal elle tient un bébé dans ses bras et c'est la cousine de ma mère côté maternelle  je sais qu'elle a eu 3 mariages donc un avec Joseph Commandant sa mère est Marie Gliven et son père serai Joseph Commandant aussi il me manque les parent de Marie et Joseph
Merci pour vos info

PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE

cette recherche a déjà été faite ici
ce sont des Amérindiens Premières Nations et les patronymes changent

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aussi ici

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vous avez même des photos

 PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE
on apprécierait une réponse de votre part

Le mariage des parents de Catherine n'est pas trouvable  probablement un nom Indien ou mariés selon la coutume Amérindienne,,

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voici son mariage à St-Félix de Valois Cheneville

second mariage de Charles Lamère

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Le 30 avril 1873

PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE

On réussirait peut-être à trouver si on avait le nom de vos parents puisque vous dites que Catherine serait sa cousine
donnez-nous leur noms  de vos parents et la date de leur mariage naissance et décès réussira peut-être à remonter cette lignée

Je vous remercie infiniment pour toute vos réponses je vais pouvoir finalement avancer grâce à vous
Je vais à St-Jérome début juin je vais à un bureau gouvernementale dont ils m'ont dit qu'ils avaient plusieurs
information dans leur bande de donner sur ordinateur il ne donne rien par téléphone je vais me rendre et toute autre réponse que
je trouverais je pourrais vous les transmettre avec grand plaisir merci
Votre site est une réussite  

PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE

Tu ne réponds pas à ma question

    Je te demande qui étaient tes parents puisque tu dis que ta mère est la cousine de Catherine Lamer

    à partir d'eux je pourrais peut-être avancer un peu plus

Désolé je suis pas habitué et encore moins sur une ordinateur 

ma mère est Nicole Piché mon père est Normand Ouellette 

Ma grand mère Maternel est Lucienne Bédard Mon grand père Paul Piché

La mère de ma grand mère maternelle qui est mon arrière grand mère est Rosa Anna Commandant son marie JOseph Napoléon Bédard

la mère de Rose anna est Catherine Latreille Lamer Gros Louis son Marie est Joseph Commandant

je sais que sur le côté de ma grand mère (Rose Anna et famille vivaient vers L'Annonciation St-Jovite

 sur le côté de Paul Piché mon grand père j'ai rien car ma mère ne la jamais connue et sa mère ne voulait divulgué aucune information à son sujet. 

Je vous remercie de m'aider

pour le certificat de maria je le demanderai à ma mère elle revient mardi je sais que sa s'est fait à la
Paroisse Très-Saint-Sacrement à ville de Lachine je vous en ferai part aussi tôt que possible merci

PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE

Bonjour ma belle Carole
Merci pour les détails

Avec toi on apprend que Catherine était une Latreille, Lamer ou Gros Louis..  et elle signe Latreille

Voici le mariage de Rose-Anna

Rose-Anna et Catherine signent toutes les deux
Elles avaient une belle main d'écriture
J'ai une tite nouvelle pour toi en plus, une de tes petites cousines est ici sur le site c'est .. (Perle)

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à l'Annonciation Comté Labelle

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          N'oublie pas de leur parler de la famille de Amable Canard Blanc

    Prends bien le temps de lire une partie de leur histoire dans les liens que je t'ai mis au début

Je te les remets ici
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aussi ici

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        J'ai le mariage de tes parents si tu le veux



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PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE

PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE
Si tu regarde comme il faut l'acte de mariage de Catherine Lamer

Elle avait eu un premier mariage avec David Authier

Je ne retrouve pas ce mariage encore

Je vous remercie infiniment de toute les détailles 
J'ai écrit à Perle ne sachant pas que s'était ma cousine que je courtois très souvent. 

elle m'a écrit malheureusement je ne savait rien de cette histoire
Mais elle a tout l'abre généologique tout les certificats de naissance de bapteme elle a tout fait venir de Lannonciation Labelle elle a tout montrer à ma mère 
Elle m'a dit les informations  m'ont couter assez cher débrouille toi voilà l'histoire de la famille qui s'entraide mais sa c'est pas moi j'ai des nouvelles je les donnes pourquoi tout garder pour soi quand on est capable d'aider les gens ,,,,
je vous remercie de m'avoir informer oui j'aimerai bien avoir le certificat à mes parents 
Je vous remercie tellement

PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE

quoi ça lui a coûté cher ?

Certainement pas avec nous car elle a tout eu gratuitement

c'est ben dommage qu'elle réagisse comme ça avec toi.

elle a certainement pas l'arbre complet des Commandant ni des Simon ou Pied Blanc ou Gros Louis ou Latreille ou Lamer.
Du moins elle ne nous en a jamais parlé

Si je réussis à la rejoindre je vais tenter de savoir c'est quoi cette histoire..
J'aime bien chercher et aider mais pas me faire jouer dans le dos si vraiment elle a toute l'information et ne l'a pas partagé   

Je suis très déçue de constatée qu'elle refuse de partager comme ça   

PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE
 écris-moi un message privé et donne moi ton numéro de téléphone j'aimerais te parler
 Je t'enverrai le mariage de tes parents également

PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE
Marie-Rose Bédard naissance

Le curé était confus il a indiqué Commandant  

Dans la même paroisse que le mariage de ses parents

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PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE

en 1901 elle est déjà mariée à James ou Jack Cuthbert
Catherine ne sais pas quand elle est née en 1857 sur ce recensement
 Ils vivent dans le comté de Labelle

ligne 39
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116

Cuthbert  Jack

M

Head

M

Oct  2

1861

39

note

39

116

Cuthbert  Catherine

F

Wife

M

?  [ ]

1857

43

note

40

116

Commandant  Rose-Anne

F

belle-fille

S

Sep  30

1885

15

note

PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE


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Décès de Joseph Commandant

Catherine est prénommée Catherine Louis (Sauvage) sur cet acte de décès

PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE
naissance de Joseph Commandant fils
le parrain est le père de Joseph Commandant qui se prénomme aussi Joseph
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PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE
en 1911

Rose-Anna et sa famille
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18		77	Bedard Napoleon		M	Chef	M	avril	1877	35	1901
19		77	Bedard Rosana		F	Epouse	M	sept.	1888	24	1901
20		77	Bedard David		M	Fils	C	mars	1905	7	1901
21		77	Bedard Julien		M	Fils	C	sept.	1906	6	1901
22		77	Bedard Julienne		F	Fille	C	sept.	1907	5	1901
23		77	Bedard Adrien		M	Fils	C	juil.	1908	4	1901
24		77	Bedard Arthur		M	Fils	C	août	1910	2	1901
25		77	Bedard Joseph		M	Fils	C	mai	1911	1	1901
26		78	Bernard(?) M Charles		M	Chef	M	mars	1859	53	1901
27		78	Bernard(?) Marie		F	Epouse	M	sept.	1875	37	1901
28		78	Bernard(?) Marie Louise		F	Fille	C	mars	1896	16	1901
29		78	Bernard(?) Joseph		M	Fils	C	fév.	1899	13	1901

PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE
naissance de Joseph Commandant à Montebello
Il manque manntenant le mariage de ses aprents..
On sait qu'ils vivent à Montebello en 1853
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PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE
ici on spécifie clairement que Joseph Commandant est Algonquin

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PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE
mariage des parents de Catherine à l'Annonciation de la Vierge Marie d'Oka
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Un grand pas de fait Yes 

c'est peut-être plus clair sur familysearch
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PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE
et voici un autre lien que tu peux consulter

Kanawato, Simon Sexe: Masculin
Parents:

   Père: Ganawato, Charles
   Mère: Konwassin, Anastasie

Famille:

   Conjoint:

       Otajawadjiwanokwe, Marie-Anne Sexe: Féminin

   Enfant(s):

       Simon, Benjamin
       Simon, Louise
       Simon, Antoine
       Simon, Geneviève
       Simon, Angèle
       Simon, Angélique
       Simon, Louise
       Simon, Anastasie

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Simon, Geneviève Sexe: Féminin
Parents:

   Père: Kanawato, Simon
   Mère: Otajawadjiwanokwe, Marie-Anne

Famille:

   Conjoint:

       Chalifoux, Joseph Sexe: Masculin

Famille:

   Conjoint:

       Odjick, Charles Lamer Sexe: Masculin

   Enfant(s):

       Simon, Catherine
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Essaie de t'informer s'ils encore le livre de Canard Blanc

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Aline Jeannotte
49, rue Principale
Chénéville, Qué.
téléphone 819 428 4080
courriel : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

JEAN-GUY PAQUIN
est né dans ce qu’on appelle le Vieux Hull, à Gatineau. Diplômé en littérature française de l'Université Laval et poète invité à deux reprises au récital Voix de Paix à la Chapelle historique du Bon-pasteur à Montréal, il a été membre fondateur de l'Association des auteurs et auteures de l'Outaouais, dont il a été le président en 1986-1987. Il a été à l'origine du collectif Huit poèmes infiniment, qui a reçu le Prix littéraire de l'Outaouais en 1984, et a été finaliste au Prix littéraire LeDroit en 1997 pour Ces enfants qui font peur aux hommes. Il a fait paraître Albert Ferland, 1842-1943, Du pays de Canard Blanc Wâbininicib au plateau Mont-Royal, une édition d’un choix de poèmes, proses, dessins et hotographies d’Albert Ferland, aux Écrits des Hautes-Terres, en 2003, en collaboration avec Gaëtan Dostie.

Son travail de mise à jour du patrimoine et d’organisateur culturel dans la Petite-Nation lui a valu le Prix Jacques-Lamarche en 2001.

49, rue Principale
Chénéville, Qué.
téléphone 819 428 4080
courriel : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE
peut-être la mère de Charles Louis Objick

son décès

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PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE
Un brin d'histoire si ça t'intéresse

Louise Simon  elle serait la soeur de la mère de Catherine d'après ce que je comprend

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Histoire
L’île Canard-Blanc
un habitat naturel désigné patrimonial
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Le lac Simon fait partie du territoire ancestral des Algonquins Weskarinis. On le surnomme le grand lac, « la perle des Laurentides ». Situé dans le lit de la rivière Petite-Nation, le lac servait de voie de communication entre leurs campements d’été et d’hiver. Il compte un archipel au centre duquel baigne la plus grande, la plus convoitée, la plus densément peuplée des îles, l’île Canard-Blanc. Elle possède de magnifiques plages de sable et cache, sur le dos d’une vieille montagne boisée, un petit lac sauvage qui abritait autrefois un redoutable manitou. D’après la tradition orale transmise par Amable Canard Blanc, le légendaire serpent de mer du lac Simon s’y réfugiait.


Simon Blanc, à qui l’histoire attribue le nom du lac Simon, est arrivé avec sa famille dans la vallée de la Petite-Nation vers 1820. De la nation des Cris et né en 1797, il a été amené de Grand Portage sur le lac Supérieur et adopté à Oka par le grand chef Iroquois Charles Kanawato. De son vivant, elle s’appelait l’île à Simon. Suite à son décès en 1874, Canard Blanc lui succède, l’île prend le nom du nouveau chef de famille.


Amable Canard Blanc et Louise Simon, la fille de Simon Blanc, vivent dans l’île depuis 1861. Wabishib, son nom signifie Canard Blanc, a grandi en Ontario sur les terres de chasse de son père le chef de guerre nipissingue Joseph Pekasiketch. Leur petite maison en pièce sur pièce repose sur le versant sud-ouest, à l’abri des vents du nord et en retrait de la grande plage de sable facilitant l’accostage du canot. Il vit de la vente des pelleteries, de la pêche, des canots en écorce de bouleau et des raquettes qu’il fabrique et du troc avec les contremaîtres de la compagnie forestière des frères Edwards. Derrière la maison, une terre planche donne sur un potager, une écurie, une grange, un champ de maïs et un pâturage.


Dans sa lettre du 22 janvier 1900, Canard Blanc écrit au ministre des Terres et Forêts qu’il a « toujours entendu dire que cette île leur avait été donnée pour résider comme réserve ». Le ministère de la Colonisation leur accorde la partie sud, un lot de cent acres, le 21 novembre 1921, tout le reste de l’île demeure terre de la Couronne.




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L’hôtelier Pierre Strasbourg acquiert leur propriété en 1922 et fait aussitôt préparer un plan de lotissement de la bande riveraine. À proximité de la maison de Canard Blanc, on y construit des chalets en bois rond et un hôtel de quatorze chambres, offrant salle à manger et salon avec piano, que fréquentent une clientèle sélecte de New-York et des invités de la célèbre compagnie de machine à coudre Singer. La popularité de l’île croit rapidement. Aux premiers touristes succèdent une nouvelle génération de vacanciers. Dans les années 1950, un promoteur de Montréal organise des excursions au lac des Étoiles. Le promeneur qui s’engage dans le sentier de l’île côtoie la majesté des grands arbres centenaires. Parvenu au lac, il atteint un lieu retiré du monde, un pavillon adossé à la rive le plonge instantanément dans l’esprit sacré des lieux où peut surgir à tout moment le serpent de mer.


De nos jours, la municipalité de Lac-Simon est responsable de la gestion pour la conservation à perpétuité de l’habitat naturel des terres de la Couronne concentrée dans la partie nord de l’île. L’été, un quai est installé sur les versants est et ouest à l’intention des visiteurs et donne accès au sentier menant au lac des Étoiles où une halte est aménagée. Le sentier est dorénavant intégré à un circuit marqué par des panneaux d’interprétation historique.


Louise Simon et Amable Canard Blanc, les derniers Algonquins de la Petite-Nation à avoir occupé l’île, ont été inhumés au cimetière du village de Chénéville. Les fondations des bâtiments de la ferme et de leur maison ont disparu sous le couvert de la forêt. À ce jour, aucune fouille archéologique n’a été entreprise sur l’île Canard-Blanc.

2012 Jean-Guy Paquin
auteur du livre Le pays de Canard Blanc.


Le lac des Étoiles
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L’île Canard-Blanc fait trois kilomètres de longueur.  Là n’est pas sa particularité. Dans la partie nord de l’île, une météorite aurait percuté la montagne. À vol d’avion, on disait y distinguer le contour d’une étoile, mais certains randonneurs seraient tentés de l’appeler le lac aux Tortues puisqu’elles sont nombreuses à le fréquenter.


Pour s’y rendre, il faut repérer, sur le versant est de l’île, le quai municipal placé à l’embouchure du ruisseau camouflée par la végétation riveraine. Un sentier battu côtoie le ruisseau, vous conduit à la source. Une fois à terre, un sous-bois de fougères luxuriantes, parmi un éboulement de roches couvertes de mousses, entouré d’arbres géants, prend tous vos yeux, fait de vous un petit humain.  […]


Raoul Gadbois, le propriétaire de l’auberge du Canard Blanc, avait fait construire, sur un monticule, un pavillon à proximité de la décharge du lac des Étoiles. L’eau s’écoulait dans un lit à travers la sagittaire, cette plante qu’on appelle familièrement la flèche d’eau.  Une forêt propice au recueillement, touchée par le vol jaseur de cèdres et par le reflet des arbres dans le ciel bleu, y régnait.

2012 Jean-Guy Paquin
Le pays de Canard Blanc, extrait.


La légende du serpent de mer

On peut voir représenter parmi les peintures à l’ocre rouge sur le rocher Manitou du lac Simon le grand serpent à cornes Michikinebik. Cette légende fut publiée en 1896 dans Le Soir de Montréal sous le titre : « Le serpent de mer de Canard Blanc ».


André-Napoléon Montpetit, un correspondant au Soir de Montréal, a dans ses bagages le carnet de notes qu’il alimente pour son livre Les poissons d’eau douce au Canada. Son ami Charles Christin, parti d’Ottawa le matin, l’attend à la gare de Papineauville. Christin lui a parlé d’Amable Canard Blanc et du lac sur l’île « gardée par un dragon ». Ils arrivent à Chénéville le soir du 15 juillet 1893. Le lendemain, les pêcheurs se font conduire à l’île chez Canard Blanc.


Des peaux de chevreuil, d’ours, de loutre, de raton-laveur pendent aux branches des arbres devant sa maison face à la grande plage en forme de pointe de flèche. Canard Blanc écoute, parle peu. Son fils Hyacinthe les guidera. Encaissé sur le dos de la montagne, le lac se déverse sur le flanc est de l’île et dévale d’une hauteur d’environ trente mètres dans un lit éventré de roches et de fougères humides. Son eau trouble contraste avec l’eau claire du grand lac. L’eau, répond Hyacinthe, n’a pas toujours la couleur qu’elle a aujourd’hui. Il ne veut pas en parler. Son père ne veut pas qu’il en parle. Montpetit s’approche, insiste. Pour ne pas que son père l’entende, de peur que sa voix ne file à travers les branches jusqu’à lui, il couvre sa bouche dans l’ombre de sa main :


« Il dit que c’est… le serpent de mer. Il paraît qu’il y a au fond du lac, un gros serpent noir qui n’en sort que lorsqu’il a faim ou qu’il se sent trop chauffé, car le lac est si profond qu’il touche aux voûtes de l’enfer, et que, par temps, l’eau devient bouillante. Si le serpent est en appétit, il monte à la surface et gagne le lac Barrière par la coulée que vous voyez là. La vase remonte avec lui et prend plus de huit jours avant de se reposer. Je vois qu’à l’heure qu’il est, le serpent est en chasse dans le grand lac. Cela m’explique pourquoi nous n’avons pas pris un seul poisson depuis huit jours. Dès qu’il se montre dans le grand lac, le poisson, saisi de frayeur, se cache dans les coins et recoins, et cesse de mordre jusqu’à ce que le monstre repu retourne à son repaire. »


Gardien des traditions orales, Canard Blanc préservait, tout comme ses ancêtres, le caractère sacré du lac des Étoiles. Dans les années 1950, le poète Robert Choquette avait imaginé ce nom au petit lac sans se douter qu’il rêvait devant le refuge du serpent de mer.

2012 Jean-Guy Paquin
panneau d’interprétation historique, extrait.


Le rocher Manitou

Le rocher Manitou, situé sur la rive ouest du lac Simon, est perpendiculaire à l’îlot rocheux au nord de l’île Canard-Blanc. Un mur d’une seule pierre légèrement inclinée vers l’intérieur, orientée au soleil du matin, plonge dans l’eau. Des promeneurs, qui s’y aventurent, arrosent le rocher dans le but de déceler la forme visible du Manitou, la tête d’un chef Indien. [...]


Les premières lumières de l’écriture vivent dans les peintures des cavernes, les animaux représentés illustrent des récits, des croyances en relation avec des êtres mythiques ou spirituels. Dans le cas des peintures rupestres du Bouclier Canadien, il s’agit d’une exécution sur le flanc d’une paroi, souvent en bordure d’un cours d’eau. Les Algonquins saluaient le rocher Manitou à partir de leur canot. L’un d’eux invoquait l’ancêtre Nenabojo où des animaux fabuleux prenaient part aux récits du déluge universel. Les colons furent témoins des rituels des familles qui empruntaient le lac Simon pour se rendre sur leurs territoires de chasse.  Raoul Gadbois reproduisit, dans le Livre vert, des propos que Catherine Canard Blanc eut avec Michelle Tysseyre, lors d’une entrevue à la télévision de Radio-Canada : « Les Indiens venaient de Lorette, de Caughnawaga, d’Oka, pour saluer le Grand Manitou, surtout pour les grandes fêtes de la chasse durant l’été des Indiens. Nos parents nous défendaient d’approcher de la pierre, car le Grand Manitou n’aimait pas les provocations. Cette fameuse pierre, que les indiens vénéraient comme un dieu, c’était le dieu de la guerre… et des gravures rouges réapparaissent lorsqu’on y jette de l’eau. » [...]


L’Homme-Lièvre apparaît sur une falaise en Haute-Côte-Nord, au lac Mazinaw dans le parc Bon Echo, au lac Abamatagwia, à Peterborough. Authentifié par des chercheurs de l’Université du Québec à Montréal et de l’Université Laval à Québec, le rocher Manitou serait la plus importante manifestation archéologique de l’art rupestre de la Petite-Nation. Peu de sites rupestres ont été inventoriés au Québec comparativement à l’Ontario où on en dénombre plus de 500. Il en existe deux en Outaouais, le rocher de l’Oiseau, en amont de l’île aux Allumettes sur la rive québécoise, et le rocher Manitou. Les historiens de l’art rupestres n’ont pas, à ce jour, daté les peintures mais s’entendent pour les attribuer à la culture algonquienne.

2011  Jean-Guy Paquin
Le pays de Canard Blanc, extrait.


Amable Canard Blanc et Louise Simon
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Amable Canard Blanc naquit le 28 décembre 1834 « dans les terres de chasse des Algonquins » et fut baptisé à Oka le 8 juin 1835. Ses parents étaient de la nation Nipissingue. […] Il a épousé Louise Minawasikekwe le 14 juillet 1857 à Oka.  Louise était la fille de Simon Blanc dit Kanawato et de Marie-Anne Otajawadjiwanokwe. Selon la tradition, le couple demeura dans la famille de l’épouse.


[…] Louise Simon mourut le 25 mars 1927.  Elle avait vécu sa vie sur l’île mais personne ne peut dire si ce fut jusqu’au moment de son dernier souffle. Amable Canard Blanc, vers la fin de sa vie, demeurait au village de Chénéville chez sa fille Asilda et son gendre François d’Assise Pilon. […] Leurs enfants se dispersèrent, certains en Ontario. Joseph fut enterré sur la réserve de Whitefish Lake à Naughton, près de Sudbury.  Olivine mourut à Sainte-Sophie dans le comté de Terrebonne et Marie-Louise décéda à Montréal. Elles furent toutes deux inhumées à Chénéville. Asilda, Catherine, Angèle, cette dernière cousait, résidaient au village de Chénéville. Jean-Baptiste demeurait au lac Gagnon, à Duhamel, ainsi que son frère Hyacinthe. Ce dernier fabriquait des canots d’écorce miniatures qu’il écoulait, à son kiosque de Chénéville, au temps des courses sous harnais. Très populaires dans les années 1950, les chevaux couraient dans le secteur du parc Urbain-Chéné.


Il sera le dernier de l’île. Hyacinthe était en résidence à Ripon quand il a rendu l’âme à 96 ans, en 1972. Son père Amable avait quitté ce monde le 19 septembre 1931, à 97 ans.

2012  Jean-Guy Paquin
Le pays de Canard Blanc, extrait


Fondation de conservation de
l'île du Canard-Blanc

280 chemin de la Baie Yelle,
Lac Simon (QC),
Canada, J0V 1E0

Tél : 819-428-3161
RACJ: 417164

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PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE
mariage de Simon Blanc
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Louise Simon épouse de Canard Blanc était marraine

Baptême Marie-Geneviève Commandant à Chénéville
PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE

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PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE
et sur mes Aieux voici ce qu'ils donnent
j'imagine que je peux avoir tout ça sur Ancestry

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PAR DENISE PELLETIER MICHAUD FONDATRICE
bon ben t'en as un bon bout de fait

j'ai assez tricoté pour aujourd'hui     

la suite demain    

Je suis ému les yeux plein d'eau je ne sais pas comment vous remercié mais je sais que j'ai beaucoup à lire je vais le faire tête reposer vers les 9 heures ce soir car je garde mon petit fils
Quand j'avais appelé à Maniwaki pour ma carte indienne je devais faire l'arbre généologique et remontrer à un chef de 5 ieme génération je vais y arriver grâce à vous je vous remercie et mes enfants vous remercie car sa fait 2 ans environs qu'il demande à Perle mais sans succès 
gros merci à vous et passez une agréable soirée bisous amicalement Carole

ça me fait plaisir

et Perle ne donne pas signe de vie..

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Louise Turgeon
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Le pays de Canard Blanc


Mardi le 15 juin, 2004


Le pays de Canard Blanc
Jean-Guy Paquin
Écrits des Hautes-Terres
L'arbre est dans ses feuilles
Collection « Outaouais »
175 pages
2004
Prix de lancement : 38$

C'est une oeuvre magistrale! Il faut entendre Jean-Guy Paquin en parler avec passion... il a fait des trouvailles remarquables et il nous offre ce livre qui fourmille des trésors de la Petite-Nation. Oui, c'est une balade étonnante dans l’histoire et l’imaginaire de la Petite-Nation. Bravo à l'auteur et à la maison d'édition pour cet ouvrage de grande qualité!

Le pays de Canard Blanc de l’auteur Jean-Guy Paquin est le livre à s'acheter cet été, surtout si vous avez le goût de vous promener dans ce coin là!

Jean-Guy Paquin, auteur sensible et qui aime sa terre d’adoption, la Petite-Nation, nous entraîne à sa suite, par les routes, chez les gens, à travers les lieux et l’histoire, dans les archives et la généalogie, parmi les anecdotes…

Ainsi, le lac Simon a son monstre; la rivière de la Petite-Nation, qui creuse son lit dans ce lac, produit des phénomènes aussi puissants que mystérieux; la peinture rupestre a inscrit la mémoire de l’homme-lièvre dans la pierre du rocher Manitou; les Algonquins Simon Kanawato, Wabishib Canard Blanc et leur lignée ont donné leur nom au lac et à l’île qui s’y étend; Yvonne Sauvage (Simon) raconte la chasse au castor à mains nues; Bouchette fils, arpenteur du canton de Hartwell, ouvre une partie des carnets de son expédition; Hercule Chéné fonde Chénéville; Gérald Lavergne s’érige en véritable mémoire vivante; le violoneux Poléon le
Noir, de la baie de l’Ours, n’a pas son pareil pour chauffer une soirée. Et tant de rencontres et de faits historiques et croustillants encore !

« Venez vous balader avec moi au Pays de Canard Blanc », semble nous lancer un Jean-Guy Paquin enthousiaste et attachant.

Pour compagnon privilégié de cette traversée du temps, il a élu Albert Ferland qui, le premier, a si bien décrit les paysages magnifiques et les habitants de ce coin de pays, Premières nations et Blancs confondus. À près d’un
siècle de distance, les deux font connaissance, entrent en dialogue. Il faut les suivre, les écouter.

« C’est un livre magnifique, tout en couleurs, sur papier glacé, couverture cartonnée et reliure cousue, déclare l’éditeur Pierre Bernier, et qui regroupe tout ce qu’il faut de vérité historique, de culture, d’imaginaire et de sensibilité pour que les lecteurs passent de surprise en étonnement en ravissement. »

Le programme de publication des Écrits des Hautes-Terres est appuyé par le Conseil des Arts du Canada et par la Sodec.

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Pierre Bernier/éditeur

Écrits des Hautes-Terres
42, rue Henri
Montpellier (Québec) J0V 1M0 Canada
Téléphone : (819) 428-2337
Télécopieur : (819) 428-2338
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Jean-Guy Paquin est né dans ce qu'on appelle le Vieux Hull, à Gatineau.

Diplômé en littérature française de l'Université Laval et poète invité à deux reprises au récital Voix de Paix à la Chapelle historique du Bon-pasteur à Montréal, il a été membre fondateur de l'Association des auteurs et auteures de l'Outaouais (AAAO), dont il a été le président en 1986-1987.

Il a été à l'origine du collectif Huit poèmes infiniment, qui a reçu le Prix littéraire de l'Outaouais en 1984, et a été finaliste au Prix littéraire Le Droit en 1997 pour Ces enfants qui font peur aux hommes.

Il a fait paraître Albert Ferland, 1842-1943, Du pays de Canard Blanc Wâbininicib au plateau MOnt-Royal, une édition d'un choix de poèmes, proses, dessins et photographies d'Albert Ferland, aux Écrits des Hautes-Terres, en 2003, en collaboration avec Gaëtan Dostie.

Son travail de mise à jour du patrimoine et d'organisateur culturel dans la Petite-Nation lui a valu le Prix Jacques-Lamarche en 2001.
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Jean-Guy Paquin a aussi, avec Aline Jeanotte, un commerce au service de la population de Chénéville, une librairie de livres d'occasion.

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Le Premier côté du monde
Propriétaires
Aline Jeanotte
Jean-Guy Paquin

49 Principale
Chénéville (Québec) J0V 1E0

Téléphone (819) 428-4080
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Catherine à la ligne 19 avant de se marier
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Lis ce livre très intéressant

Merci Denise pour tout  j'avance énormément et surtout je pratique ma lecture   
reposez vous bien car vous avez travailler très fort pour moi bisous Carole

Bonjour Carole Avec la photo de Catherine âgée de 106 ans et le reportage fait sur elle on apprend que son premier mari était David Gaspé  
c'est dommage que le document soit incomplet..

    J'aimerais bien savoir à partir de quel journal cet article a été produit.  car l'article se poursuivait sur la page 4 du dit journal


    J'imagine qu'aux archives Nationales de Montréal ils ont l'article au complet


voici donc en image les dits documents
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Je ne sais pas si c'est la bonne
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Je sais pas beaucoup de difficulté à lire c pas claire je vais tenter
de mettre le message sur logiciel paint pour le lire correctement
je vous redonne des nouvelles
Merci

ok parfait

Il y a une erreur sur cette photo ce n'est pas le second mari de Rosanna

c'est son seul et unique mari
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Décès de Rosanna Commandant
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Ste-Agathe-des-Monts

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  Curieux je ne trouve ps l'acte de ce certificat dans la paroisse

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Chéneville

Sur le site du Gouvernement du Québec pour obtenir l'information


Mme Alice Jerome, grand chef
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81, Kichi Mikan
Maniwaki (Québec) J9E 3C3
Téléphone : 819 449-1225
Télécopieur : 819 449-8064
Courriel : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Site Web [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

(Représentant les 6 communautés : Kebaowek, Kitcisakik, Kitigan Zibi, Lac-Simon, Pikogan, Winneway, Wahgoshig (Ontario))
          Source  http://www.autochtones.gouv.qc.ca/nations/organismes_autochtones.htm
    http://www.autochtones.gouv.qc.ca/nations/organismes_autochtones.htm