Enfants de parents acadiens

voici l'image
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c,est à quel endroit que tu as trouvé ce document ?

Dans des archives en France

oui mais quel endroit en France

Ca s'apelle;
les Archives de Morbihan

personnellement je serais tres surpris de voir des anglais deporter des Acadiens en France,  ..

il semble y avoir eu des refugies pendant la deportation,  

r la ville de Châtellerault, ville d’accueil de centaines de réfugiés acadiens pendant la déportation. Visite guidée de la ville et du quartier acadien avec plusieurs rues nommées en l’honneur de l’Acadie. Dîner avec les membres de l’Association Châtellerault-Québec-Acadie. 




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je crois qu'il y en a un autre pour ce printemps et que Lake en fera partie pour aller en France mais je ne me rappelle pas si cet endroit fera partie de leur visite

tu as parfaitement raison Denise...c'est un des endroits où j'irai durant mon voyage...
Rcantin, il y a eu au delà de 3500 acadiens déportés en France...
regarde le lien que j'ai mis...

Alors que j'ai de mes ancêtres qui ont aussi débarqués dans ces lieux....
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LA DÉPORTATION DES ACADIENS - republiquelibre.org

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] d%C3%A9port%C3%A9s en france &pc=cosp&ptag=A3D67FE6F7C&form=CONBNT&conlogo=CT3210127#][/url]
Environ 3500 Acadiens furent déportés de l'île vers la France. ... La transplantation desAcadiens en Louisiane fut un immense succès et plusieurs villages ...
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Installation des Acadiens à Belle-Île-en-Mer

Un peu à la manière de l'Acadie, Belle-Île-en-Mer était occupée par les Britanniques, mais le traité de Paris(10 février 1763), qui donnait le Canada aux Britanniques, a permis à la France de récupérer Belle-Île le 11 avril 1763. Un mois plus tard les Acadiens prisonniers en Grande-Bretagne sont libérés et viennent grossir le nombre des réfugiés dans les ports français.
Plusieurs projets d'installation des Acadiens sont proposés, dont celui de Belle-Île (8 ans avant le projet poitevin). Dès juillet 1763, trois chefs de famille acadiens, Honoré Le Blanc, Joseph Trahan et Simon Granger, se rendent à Belle-Île, afin de juger de la possibilité d'une implantation sur cette île bretonne. Le baron Richard-Auguste de Warren, gouverneurde l'île juge ce premier contact positif, « ils ont paru très contents de ma réception et s'en sont retournés le 27. Comme ils sont gens fort industrieux et habiles cultivateurs, je serais enchanté de les voir arriver : ce serait un bon boulevard contre ceux qui les ont maltraités. »
Mais tout n'est pas si rose : les Acadiens, soutenus par l'abbé Le Loutre, veulent rester groupés sur l'île dans une même paroisse, ce qui n'est pas du goût de de Warren qui veut au contraire les disperser sur l'ensemble du territoire « afin que tous les habitants ne fassent qu'un seul esprit et qu'un même peuple ». L'abbé Le Loutre, qui a participé à cette première visite, prend les affaires en main et en janvier, il annonce à de Warren qu'il a trouvé 77 familles déterminées à s'installer sur l'île. Mais les affaires traînent en longueur, les habitants de l'île ne sont pas très heureux de voir débarquer ces réfugiés, rien n'est prêt, il manque des maisons, il faut commander des chariots, des charrues, dubois, des bœufs, des vaches… C'est l'abbé Le Loutre qui gère tout cela.
En septembre 1765, Granger et Le Blanc sont chargés de préparer l'hébergement des 77 familles, les premières arrivent le 22 septembre, d'autres le 1er octobre, puis le 18 et enfin le 30 octobre. Elles sont logées provisoirement dans « les grands magasins aux avoines » qui sont une halle. Les Acadiens participent aux travaux de construction des maisons, certains, qui étaient marins, embarquent avec des patrons pêcheurs du pays.
Pour arriver à un partage des terres équitable qui tient compte de la composition des familles, de l'origine, de la parenté, des affinités, un inspecteur, nommé Isambert, a imaginé un système original avec des « lotties » et des « brigades ». Les lotties sont des lots de terres bien précis et numérotés ; les brigades, au nombre de 13, sont constituées de 6 familles, chacune dotée d'un « chef de brigade » chargé de tirer au sort la lottie attribuée à chacune des brigades.

Transit par Nantes

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Lors de leur déportation en 1755, beaucoup d'Acadiens, alors détenus en Angleterre, furent envoyés en France, espérant avant tout repartir pour le Nouveau Monde. Dans l'attente d'un embarquement pour laLouisiane, certains patientèrent en Bretagne et dans le Poitou.Chantenay, aujourd'hui quartier nantais, devint ainsi pendant 10 ans, de1775 à 1785, un lieu de transit pour ces réfugiés, à proximité immédiate du port de Nantes. Certains ne tardèrent pas à s'y fixer définitivement et à y faire souche.

Voici les lieux de déportation...
Lieux de déportation
[th]Lieux[/th][th]Effectifs[/th][th]TOTAL[/th][th]12[/th]

Connecticut	6
New York	29
Maryland	10
Pennsylvanie	3
Caroline du Nord	2
Géorgie	15
Massachusetts	3
Rivière-Saint-Jean	6
Île Saint-Jean	3
Baie des Chaleurs	7
Nouvelle-Écosse	1
Québec	2
Angleterre	8
France	3
Louisiane	3
Source : R. A. Leblanc, Les migra- tions acadiennes, in Cahiers de géographie du Québec, vol. 23, no 58, avril 1979, p. 99-124

Ces Doucet ne sont pas Acadiens, mais Françaises.  Il n'y a pas des Acadiens à France en 1744 (10 ans ou plus avant la Grande Dérangement).

Dennis Boudreau

René Arbour a écrit:voici l'image
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