Les habit des Freres et Soeurs Religiiiieuse pendant les 1900s

Peut quelquen me dire quelle etait les habits des hommes et femmes religieuse dans les annees 1880-1910? 
Quoi etait le mangee du matin?  toujours porridge?  toujours la farinne?
Est ce que ilya une livre qui donnes des examples du vie d'une religieuse de Quebec pendant ces annees?

Et toutes les orphanages, ils etait ouverts par pleusieurs pretre, je me pense, avec l'argent de leur ordre (la Rance or Rome, Italie?).
Cmment sons ils de protejez toutes les pauvres enfants apres les pleusieurs floods du riviere Saint Lawrence?  
Est ce que les riched et generouse de Quebec les donnee des linges pour habillee les pauvre enfants? 

J'ai entendu que un annee, the Arch Bishop de Quebec a demandee au gouvernment "donne moi 5 sous pour chaque enfants par annee que je donne du mangee" et le gouvernment a repondu "L'aissee votre Dieu fair la mangee pour vos orphans."

Peut quelquen me dire quelle etait les habits des hommes et femmes religieuse dans les annees 1880-1910? 
Quoi etait le mangee du matin?  toujours porridge?  toujours la farinne?
Est ce que ilya une livre qui donnes des examples du vie d'une religieuse de Quebec pendant ces annees?

Et toutes les orphanages, ils etait ouverts par pleusieurs pretre, je me pense, avec l'argent de leur ordre (la France or Rome, Italie?).
Comment sons ils de protejez toutes les pauvres enfants apres les pleusieurs floods du riviere Saint Lawrence?  
Est ce que les riched et generouse de Quebec les donnee des linges pour habillee les pauvre enfants? 

J'ai entendu que un annee, the Arch Bishop de Quebec a demandee au gouvernment "donne moi 5 sous pour chaque enfants par annee que je donne du mangee" et le gouvernment a repondu "L'aissee votre Dieu fair la mangee pour vos orphans."

Can someone share some of the daily habits of religious men and women in the early 1900s? around Quebec?
What did they eat in the morning? Always porridge? Always hot, starcky cereal?
Can somone suggest a book that details the early lives of religious men and women around Quebec from 1880-1910?
And all the orphanages that were founded by various orders of priests, did the money all come from their individual orders (from France or Rome?)
How did these founders of orphanages protect the growing population of orphans with the Saint Lawrence floodng and creating new orphans over and over?  Did the rich of the city donate clothing for these chidren or cloths from which to dress these children?

I hears that one year, the ArchBishop of Quebec asked the government for 5 cents per orphan per year to feed them and the government replies Let your God feed them.

je ne saisis pas très bien ce que vous désirez savoir

Les orphelinats étaient tenus par des communautés religieuses principalement,  Celles que je connais étaient des Soeurs de La Miséricorde et peut-êttre les Soeurs de la Charité.

À savoir quelles sommes d'argent,  aucune idée

La nourriture donnée à ces orphelins... ?????

CONTRIBUTIONS OF THE SŒURS DE MISÉRICORDE IN THE FIELD OF HEALTHCARE IN CANADA
The first and only religious community in Canada to specialize in maternity care of unwed mothers and to assist childbirth as certified midwives (1848-1865), the Sœurs de Miséricorde established a network of institutions run according to the strict moral standards of the era, offering healthcare and social assistance to unmarried mothers and their children - a clientele rejected by society. They supported the development of obstetrics and paediatrics in the French-speaking community by contributing to the evolution of patient care in concert with doctors and by training qualified nurses in their schools. They also contributed to the expansion of a network of hospitals to various areas of the country, their influence having spread through the foundation of about fifteen missions in Canada and abroad.

In the wake of rapid growth due to the industrialization and urbanization of Montréal, Rosalie Cadron-Jetté founded the community of the Sœurs de Miséricorde in 1848 to help the many young women who flocked to the city to find work but who found themselves with an unwanted pregnancy. At the time, being pregnant out of wedlock was considered a disgraceful condition and these women were ostracized by society. Between 1848 and 1865, the Sœurs de Miséricorde took these women in, helped to deliver their babies and had them baptized. They also undertook to re educate and rehabilitate these women by bringing them back to the practice of a Christian life, particularly in the six months after their confinement when these young mothers had to stay and work at the hospital. Over their first twenty years or so, the Sisters assisted at deliveries for over 2,000 single mothers.

After 1865, the Sisters were forbidden to work as midwives because of their religious vows, so they entrusted this work to lay midwives and medical students who worked at the hospital under their supervision. As a result, they made a significant contribution to the development of obstetrics in the French-speaking community. Over the years, they also expanded the scope of their own work to include the care and treatment of babies, the training of qualified nurses and help for mothers and children on social assistance. They accepted women of all ages who needed their services, regardless of social class, nationality or religion. In addition, they set up nurseries, maternity wards, hospitals, nursing schools and homes for single mothers. Pioneers in the field of obstetrics, they also promoted advances in paediatrics and infant care as their work with children developed.

In 1879, the community started expanding its work beyond Montréal, branching out into other regions of Canada and abroad. It established institutions in Ottawa in 1879, in New York in 1887, in Winnipeg in 1898, in Edmonton in 1900, in Chicago in 1907, in Toronto in 1914, in Trois-Rivières in 1940, in Los Angeles in 1948, in Africa in 1957 and in South America in 1995. In all these places, the Sœurs de Miséricorde brought their expertise in the areas of assistance to unwed mothers, infant care and the training of care providers. In all of their work, they contributed to improvements in healthcare and in the progress of medicine, particularly in paediatrics and obstetrics, which remained their fields of choice.


News Release associated with this Backgrounder.
NEW DESIGNATIONS RECOGNIZE THE NATIONAL HISTORIC SIGNIFICANCE OF CANADIAN PEOPLE, PLACES AND EVENTS
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

L’APPORT DES SŒURS DE MISÉRICORDE AU DOMAINE DE LA SANTÉ AU CANADA
Première et unique communauté à s’être spécialisée au Canada dans les soins aux mères célibataires et la pratique d’accouchements comme sages-femmes autorisées (1848-1865), les Sœurs de Miséricorde ont établi un réseau d’établissements qu’elles administraient selon les mœurs sévères de l’époque et où elles offraient soins de santé et assistance sociale aux mères célibataires et à leurs enfants, clientèle honnie de la société. Elles ont soutenu le développement de l’obstétrique et de la pédiatrie dans le milieu francophone en contribuant avec les médecins à l’évolution des soins aux patients et en formant des infirmières qualifiées par l’entremise de leurs écoles; de plus, elles ont contribué à l’expansion du réseau hospitalier dans diverses régions du pays, leur œuvre ayant rayonné par la fondation d’une quinzaine de missions au Canada et à l’étranger.

C’est dans la foulée de la grande croissance de l’industrialisation et de l’urbanisation à Montréal que Rosalie Cadron-Jetté fonde la communauté des Sœurs de Miséricorde en 1848, afin de venir en aide aux nombreuses jeunes filles qui affluent vers la ville pour trouver du travail, mais qui se retrouvent avec une grossesse non désirée. À l’époque, être enceinte hors des liens du mariage est une condition honnie qui met la personne au ban de la société. De 1848 à 1865, les Sœurs de Miséricorde les accueillent pendant leur grossesse, les accouchent, et s’occupent de faire baptiser leurs bébés. Elles se chargent également de leur rééducation et réhabilitation en tentant de les ramener aux pratiques de la vie chrétienne, en particulier au cours des six mois ou plus après l’accouchement, où les jeunes mères doivent demeurer et travailler à l’hôpital. Au cours des quelque vingt premières années de leur existence, les Sœurs ont accouché au-delà de 2000 mères célibataires.

Après 1865, les Sœurs se voient interdire d’agir comme sages-femmes en raison de leurs vœux en religion. Elles confient alors ce travail à des sages-femmes laïques et à des étudiants en médecine, qui oeuvrent à l’hôpital sous leur surveillance; ce faisant, elles contribuent grandement au développement de l’obstétrique en milieu francophone. Au fil des ans, elles élargissent aussi l’éventail de leur propre travail, de façon à inclure l’accueil et le soin des bébés, la formation d’infirmières qualifiées et l’assistance aux mères et aux enfants qui relèvent de l’assistance sociale. Elles accueillent les femmes de tout âge qui ont besoin de leurs services, quelles que soient leur classe sociale, leur nationalité ou leur religion. De plus, elles mettent sur pied des crèches, des maternités, des hôpitaux, des écoles d’infirmières et des résidences pour mères célibataires. Pionnières dans le domaine de l’obstétrique, elles favorisent également le progrès de la pédiatrie et de la puériculture, à mesure que leur œuvre auprès des enfants se développe.

À partir de 1879, la communauté commence à essaimer et à répandre son œuvre à l’extérieur de Montréal, tant au pays qu’à l’étranger. On la retrouve, entre autres, à Ottawa en 1879, à New York en 1887, à Winnipeg en 1898, à Edmonton en 1900, à Chicago en 1907, à Toronto en 1914, à Trois-Rivières en 1940, à Los Angeles en 1948, en Afrique en 1957 et en Amérique du Sud en 1995. À tous ces endroits, les Sœurs de Miséricorde apportent leur expertise dans les domaines de l’assistance aux mères célibataires, du soin des enfants et de la formation du personnel soignant. Partout, elles contribuent à l’amélioration des soins de santé et au progrès de la médecine, particulièrement en matière de pédiatrie et d’obstétrique qui demeurent leurs sphères de prédilection.


Communiqué de presse associé à cette fiche d'information.
NOUVELLES DÉSIGNATIONS VISANT À COMMÉMORER DES LIEUX, PERSONNAGES ET ÉVÉNEMENTS AYANT MARQUÉ L’HISTOIRE DU CANADA

I have the impression you have received the bad information concerning these congregations


C'est pas drôle de véhiculer de fausses informations concernant les communautés religieuses aux États-Unis d'après ce que je comprends. .

Pour votre information les regieuses au contraire prenaient soin des enfants dans la majeure partie des cas..

C'est grâce à ces mêmes communautés que les familles ont pu recevoir de l'éducation, des soins médicaux, entre autre.

It's not funny to convey false information about religious communities in the United States from what I understand. . For your information the regieuses instead took care of children in most cases .. It is through these communities that families were able to receive education, medical care, among others. a écrit:

J'espère qu'aux États-Unis les descendants de vos familles ont une toute autre impression des Canadiens.

I hope the United States descendants of your families have a very different impression of Canadians.

If you want a true answer please contact the Archevêché de Québec at 

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Richard Pelletier

WOW ! ! ! . . .  Ce que l'ignorance peut faire dire . . . J'en reviens pas à chaque fois !

Au moins elle va s'apercevoir par les réponses que vous lui avez donné que, premièrement, 
les rumeurs et "qu'en-dira-t-on", très souvent, sont sources de calomnies et de mépris.
et que deuxièmement, vous, vous avez été capable de lui remettre les pendules à l'heure
et pas basé sur des "rumeurs" et "qu'en-dira-t-on".  J'en dirai pas plus.  Le mépris ne mène nul part.
René

Bonjour René

J'ai vu un reportage tourné ces dernières années au Canal D si je me souviens bien réalisé avec un chanteur ou un jeune humoriste né en Ontario et il apprenait des descendants encore vivants du Massachussett que nos Canadiens immigrés n'avaient pas le droit de parler Français parce qu'ils seraient considérés comme des personnes dépourvues d'intelligence..

En tk nos Canadiens ont subit en mausus

Bonjours Denise

Ouais !  Les "amaricains" ont une grosse tendance à penser que tout ce qui n'est pas américain de souche,
ne mérite pas d'exister ou presque.  C'est comme si le restant du monde n'existait pas pour eux.  Il y a l'"amérique" (lire les USA) qui eux sont les "Big One" et le reste de la planète qui'il ne connaisse à peu près pas.

. . . . Comme je disais, l'ignorance . . . . .   ! ! ! !    torrieux !!!

Je dirais "MauditTorrieux". moi aussi ça me fâche ben raide que les Américains aient une telle opinion de nous Canadiens       

et là je ménage mes mots .. les propos de cette dame sont plus que décevants et même enrageants

l'émission que je vous parlais passe à Canal D le 25 mai prochain



   Toutes les vidéos de cette émission

Semaine du 19 mai 2014
Un rêve américain

Le musicien franco-ontarien Damien Robitaille nous fait découvrir l'histoire extraordinaire des Canadiens français vivant aux quatre coins des États-Unis. De New York à Los Angeles, en passant par la Nouvelle-Angleterre, le Michigan, le Midwest et l'ouest mythique, il nous fait revivre les grands épisodes de leur exode. Il découvre une société paradoxale, presque irréelle qui, malgré qu'elle se soit dissoute dans la société américaine, demeure bien vivante. Grâce à des rencontres attachantes et à des lieux empreints d'histoire, Damien nous fait découvrir les multiples facettes d'une diaspora canadienne-française vieille de trois siècles. Comptant aujourd'hui plus de 11 millions de personnes, ce "peuple" est constitué du plus grand nombre de descendants canadiens-français de l'ensemble du Canada.

extrait vidéo
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Merci pour l'info.
J'vais z'yeuxter ça.